Programme
CONFERENCES, ECHANGES, DEBATS
Avec la participation d’enseignants de l’UICG
En résonance avec deux spectacles proposés par
L’ESPACE PAUL JARGOT
Samedi 2 décembre 2023
Conférence animée par Marc Tilly, Professeur de philosophie, enseignant UICG avec pour thème "Crise de la représentation politique et représentations théâtrales de la crise" en résonance avec le spectacle de Guillaume Meurice « Meurice 2027 »
Spectacle à l’Espace Paul Jargot : « Guillaume MEURICE Président 2027 »
« Un premier quinquennat Macron à peine terminé, voilà qu’il est suivi d’un second mandat qui s’annonce réjouissant.
Mais 2027, c’est déjà demain ! Et le président ne pourra pas se représenter. Il est temps pour Guillaume Meurice de se déclarer à la fonction suprême. Guillaume Meurice est votre candidat.
Quand s’impose la nécessité d’aller plus vite, plus haut, plus fort, instinctivement nos regards convergent vers le seul candidat légitime, qui incarne à lui seul l’avenir de la France du futur ! »
Jeudi 21 mars 2024
Conférence animée par Yves Santamaria, Maître de Conférences, enseignant auprès de l’UICG. Il apportera son regard d’historien sur l’Iran des années 70, en résonance avec le spectacle « Les poupées persanes »
Vendredi 22 mars 2024
Spectacle à l’Espace Paul Jargot à Crolles : « LES POUPEES PERSANES », pièce écrite par Aïda Asgharzadeh
« C’est l’histoire de quatre universitaires dans l’Iran des années 70, de la chute du Shah à l’arrivée au pouvoir du régime islamique. C’est l’histoire à vrai dire, de toutes les révolutions…
Une histoire passionnante, rocambolesque, et à la fois drôle et émouvante, qui offre une galerie de personnages débordant d’humanité.
Une histoire qui soulève un grand nombre de sujets fondamentaux tels que la question de la résilience, l’entrée d’un peuple en résistance, la nécessité de fuir un pays pour sauver les siens, la difficulté d’élever ses enfants dans un nouveau pays, le poids de la culpabilité et du secret…
Une véritable épopée, riche, dense et virevoltante, devant laquelle on rit autant que l’on pleure. »